[FANFIC] Seul au monde 2

Les couloirs sombres du vaisseau, ou plutôt de ce qu'il en restait, laissaient planer une lourde
atmosphère ainsi qu'un étrange gaz vert qui se rependait dans le vaisseau tel la guerre dans la galaxie . De monstrueuses formes humanoïdes marchaient d'un pas lourd pour certains, plus vif pour d'autres, c'était pour ainsi dire, le plus grand et le plus sinistre des désordres que ce vaisseau pouvait connaître, et, ce vaisseau justement, c'était le Mona Lisa. La libération accidentelle des centaines de spores de parasite que contenait les différents laboratoires de recherche devait d'avoir eu lieu depuis plusieurs
heures déjà, mais, au cœur de ce chaos indescriptible, subsistait un homme. Le hasard a voulu qu'il s'agisse d'un prisonnier. Il avait été embastillé pour un crime qu'il n'avait pas commit, il avait à peine été juger qu'on l'envoya en prison. Le misérable, avait été privé de tout en un instant, il en fut malade, à un tel point, qu'il avait une fâcheuse tendance à traîner avec des prisonniers Covenants. Et, malgré la barrière de la langue, il réussi à apprendre le maniement des armes auprès d'eux. C'est grâce à eux qu'il est encore là, résistant tan bien que mal aux assauts des créatures amorphes, qui, avaient autrefois, été des hommes. Où il était dans le vaisseau, il ne le savait pas, tout comme il ne savait pas où le vaisseau se trouvait lui-même... C'était l'enfer. Il reconnu, parmi l'amas de créatures qui se trouvait devant lui, un de ses amis covenant, le magnum qu'il avait habilement récupérer avant l'attaque était presque déchargé, et, la Fortune se montra clémente, car ce Covenant avait dans ses restes de mains, un fusil
d'asseau. Bryan, car c'était sont nom, se jeta violemment sur la créature et lui extirpa son arme en plus de temps qu'il n'en faut pour appuyer sur la gâchette. Sans réfléchir d'avantage, son
instinct lui fit prendre la direction du pont depuis lequel il pensait pouvoir trouver de quoi se ravitaillé, et avec un peu de chance, de quoi appeler les secours. Mais seulement voilà, il ne savait pas où
était le pont. Et, il finit par se perdre dans les méandres que formaient les pièces et le couloirs du vaisseau. Et, au moment où il perdit tout espoir, où il tomba en larmes en repensant à sa
famille, il aperçut par les grandes fenêtres du navire, une grande forme qui se dessinait peu à peu jusqu'à laisser apparaître celle d'un vaisseau : c'était l'UNSC Red Horse. Il se releva, et , après tout ce qu'il à dû endurer, la chance ne s'arrêta pas de tourner : il d’aperçu qu'il se trouvait près des modules de
largauge et il n'en restait que deux. Mais, c'est à cet instant précis que surgit une autre créature qui le frappa de plein fouet dans la cage thoracique. Et c'est à peine s'il eut le temps de reprendre son souffle qu'il fut atteind de plus belle près des membres postérieurs. Il se releva et ressentit un troisième coup
qui failli lui être fatal. La puissance de son adversaire était telle, qu'il fut projeter directement dans une capsule. Mais, ses assaillants ( un deuxième monstre prit par au combat ) ne comptaient
pas à en rester là, ils réussirent à lui arracher ses vêtements avant de lui porter un dernier coup qui lui sectionna un morceau de sa main. Il finit quand même par déclencher le départ du petit engin qui le mena directement dans l'enceinte même du vaisseau. Le pauvre bougre, couvert de sang, eut à peine le temps et la force de répondre aux quelques questions posées par des soldats, qu'il mourut de ses
blessures et s’éteignit sur ces mots : « Je n'y retournerait pas... »